Bonjour Nicolas, pourriez-vous nous raconter comment est née l'idée de lancer Belle-Île, ce vélo cargo compact, et quel besoin spécifique cherchiez-vous à combler dans la mobilité urbaine ?
Suite au succès de notre premier modèle, le longtail Oléron, nous avons voulu développer notre gamme en proposant un nouveau modèle, le Belle-Île, un longtail plus compact, spécifiquement adapté aux zones urbaines à forte densité.
Comment pensez-vous que Belle-Île va transformer la perception et l'utilisation des vélos cargos en milieu urbain, notamment chez les jeunes qui envisagent un avenir sans voiture ?
Le Belle-Île, comme l’Oléron, sont des vélos avec des cadres en acier, conçu pour durer et accompagner nos clients dans la durée pendant de nombreuses années. Le choix apporté aux composants et la robustesse du vélo en font un moyen de transport économique dans la durée qui accompagnera nos clients lors des différentes phases de leur vie.
Quelle a été la principale difficulté que vous avez rencontrée lors du développement de Belle-Île et comment l'avez-vous surmontée ?
La principale difficulté pour le développement d’un nouveau modèle est d’ordre financière, cela représente un investissement important pour notre entreprise. Nous avons financé ce développement en fonds propres.
Avec l'accroissement de l'utilisation des modèles électriques, comment voyez-vous l'évolution des bicyclettes dans le contexte de la mobilité douce dans les prochaines années ?
Le vélo cargo, de part sa faible consommation en énergie électrique en fait un allier incontournable dans le cadre de la transition écologique et se présente comme une véritable alternative à la voiture, quelle soit thermique ou électrique.
Pouvez-vous nous expliquer comment Belle-Île se distingue des autres vélos cargos sur le marché en termes de design, de technologie et de fonctionnalité ?
Le design du Belle-Île est élégant et dynamique, avec ses tubes en acier et sa partie arrière spécifique. Il allie dynamisme, confort et ligne épurée tout en garantissant une durabilité maximale. Il est équipé d’un coupleux moteur de pédalier, d’une transmission à courroie, de freins hydrauliques à 4 pistons et de nombreux accessoires pour tous les trajets du quotidien.
Quel impact espérez-vous que Belle-Île ait sur la réduction de l'empreinte carbone des familles urbaines et quelles mesures prenez-vous chez ETNI Cycles pour promouvoir cet aspect écologique ?
Chaque trajet réalisé à vélo avec le Belle-Île a un effet positif sur la réduction de l’empreinte carbone en comparaison avec une voiture. De notre côté, nous travaillons avec un maximum de partenaires locaux pour limiter l’empreinte carbone de nos composants afin d’être le plus vertueux possible.
À votre avis, quelles sont les prochaines étapes pour encourager une adoption plus large de la mobilité douce comme celle proposée par Belle-Île dans les villes européennes ?
La sécurité est un point très important pour nos clients, une amélioration des infrastructures, avec des pistes cyclables protégées est indispensable pour une large adoption des vélos cargos, notamment du Belle-Île !
Pour plus d'informations : https://www.etnicycles.com
